Le silence de la forêt.

Ballade en forêt

 

   

 

Bonsoir à tous !!  

Je vous propose ce soir de côtoyer la nature avec une promenade dans la forêt de :

Compiégne.

 

    

La forêt de Compiégne

 

 s'étend au nord jusqu'à la vallée de l'Aisne et à l'Est  jusqu'à celle de l'Oise.

 

 

 

Elle a un contour en forme de cercle de 14 km de diamètre et sa superficie set de 14417 ha.  

    

Le point culminant de la forêt est la plaine du haut Palesne dans le sud est à 145 m d'altitude.

  

 

     

La forêt appelée autrefois "forêt de la Cuise" s'étendait plus à l'est probablement proche du village de Cuise.

  

Ce n'est que tardivement au Moyen Age que les arbres colonisent ou recolonisent les marais alors délaissés pour composer la forêt actuelle.

  

 

  

 

      Vues des étangs de St Pierre au coeur de la forêt.

De nombreux souverains de France vont aimer y chasser.François 1er est le premier à la faire aménager en traçant huit routes

 

 

 La forêt est essentiellement constituée de futaies,de hêtres et de chênes.De manière générale on compte pas moins de 5600 espèces végétales et de 6600 espèces animales dont une importante population de cerfs de chevreuils et de sangliers.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Et si nous faisions un peu de poésie ????

 

Que j'aime ces bois solitaires

Aux bois se plaisent les amants$

Les nymphes y sont moins sévères

Et les bergers plus éloquents 

    

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

   Le château de "Pierrefond"

 

"Les beaux monts"

Les arbres des forêts sont des femmes très belles

Dont l'invisible corps sous l'écorce est vivant

La plus pure eau du ciel les abreuvent,et le vent

En séchant leurs cheveux les couronnent d'ombrelles.

Le poteau du carrefour des Dryades

 

Sur la plus haute branche

Langue vibrante au vent

La feuille la plus haute

Chante l'arbre vivant.

 

  

J'étais un arbre en fleur ou chantait ma jeunesse

Jeunesse oiseau charmant ,mais trop vite envolé

Et même avant de fuir du bel arbre effeuillé

Il m'avait tant chanté qu'il se plaignait sans cesse.

 

 

Mais la plainte était douce,et telle en sa tristesse

Qu'à défaut de témoins et de groupe assemblé

Le buisson attentif avec l'écho troublé

Et le coeur du vieux chêne en pleuraient de tendresse.

 

 

Debout,il se dévore,il se ride,il attend

Jusqu'à l'heure ou viendra la corneille fatale

Pour le suprême hiver chanter le dernier chant.

 

  

 

Et comme en France tout se termine en chanson!!!!

Voici le final de cet article

 

 

 

 

Auprès de mon arbre je vivais heureux

J'aurais jamais dû m'éloigner de mon arbre

Auprès de mon arbre je vivais heureux

J'aurais jamais dû le quitter des yeux ..........